Aider à la survie du commerce

En raison du confinement total provoquée par la crise COVID-19, cette plateforme met en vente une série de bons que les citoyens peuvent acheter, échangeables dès que les établissements ont pu reouvrir leurs portes.

BBK inclut une contribution financière dans les bons, de sorte que l’utilisateur obtient une valeur à échanger qui est supérieure au montant qu’il contribue.

Les entreprises biscayennes participent à la plateforme, de sorte que les utilisateurs acquièrent des bons à échanger dans leurs magasins, une fois qu’ils peuvent rouvrir.

De cette manière, les commerçants reçoivent l’injection de liquidités nécessaire pour faire face à leurs paiements pendant cette période et, ainsi, peuvent rouvrir les stores, une fois cette situation passée.

Ainsi, cette initiative a été rapidement reproduite dans le secteur de la culture et du divertissement.

Une action rapide étant nécessaire, l’e-commerce a été publié en un temps record, avec l’intention de servir non seulement à l’utilisateur final, mais aussi de rendre l’enregistrement des magasins facile, rapide et utile pour eux.

Avec le web, une stratégie de communication solide était d’une importance capitale pour atteindre les premiers commercer et les futurs acheteurs de bons presque en même temps.

Ainsi, plusieurs axes ont été définis sur lesquels pivoter la diffusion de ce projet de solidarité. La force de communication de BBK devait s’appuyer sur une solide stratégie de contenu, définie dans un plan de médias sociaux ad hoc, qui est complétée par une stratégie de prescripteurs (les magasins eux-mêmes).

Dans ce sens, un Social Media Pack a été créé, un produit à part entière qui offre aux prescripteurs une série de contenus et de créations spécifiques déjà préparés pour la publication.

En quelques jours, l’indice de reconnaissance de la marque KREO EN TI a largement dépassé toutes les attentes.

Ainsi, ce projet a été un pionnier pour beaucoup d’autres qui, plus tard, tentent également d’aider à surmonter l’énorme ralentissement économique que cette pandémie a créé.